Il y a des origines génétiques (prénatale ou néonatale), des affections survenant durant l’enfance ou à l’âge adulte.
Dès la naissance, le nouveau-né peut présenter des facteurs de risques
- antécédents familiaux d’hypoacousie
- infection fœtale (rubéole, toxoplasmose, CMV)
- malformation congénitale touchant la tête et/ou le cou
- poids de naissance inférieur à 2 kg
- prématurité
- détresse respiratoire ayant nécessité une ventilation prolongée ou de fortes concentrations d’oxygène
- hyper bilirubinémie ayant nécessité une exsanguino-transfusion
- troubles neurologiques centraux
- infection intra-utérine ou néonatale
- traitement néonatal par drogues ototoxiques
Au delà, l’enfant est considéré comme entendant mais une affection intercurrente impose que soit recherché une surdité séquellaire.
Méningite bactérienne (10 à 20 % des enfants guérissant d’une méningite présentent une hypoacousie);
- Oreillons
- Drogues otoxiques (antibiotique de la famille des aminosides)
- Otite chronique
- Hypothyroïdie
- Apparition d’une infirmité motrice-cérébrale
- Traumatisme crânien ou IMC